Voilà quelques années que je me pose la question.
Je me souviens encore de ma jeunesse cycliste à Toulouse, de 1992 à 1994, où mes sorties n'étaient encore que rarement accompagnées de vent.
Puis, une mutation de mes parents sur Perpignan m'a fait découvrir le vent, que dis-je, la tempête, avec la Tramontane. Partir dans le mauvais sens (vent de dos et revenir vent de face) était dans cette contrée une enorme erreur. Car rentrer avec un vent de 80km/h dans le nez, ce n'est pas ce qu'il y a de plus judicieux.
Puis, à la fin de mes études, retour avec madame sur Toulouse, où j'ai notamment vanté (sans jeu de mot) le vent qui y souffle bien moins fort que sa région d'origine (même si c'est le boulot qui nous a finalement amené à Toulouse, pas le choix de la météo).
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