Des tests tout de même poussés, qui vont des Fulcrum Racing 7 aux Lightweight en passant par les célèbres Campagnolo Neutron.

Je vous invite à lire ses 4 récits sur son blog : partie 1, partie 2, partie 3 et partie 4, mais surtout la synthèse en partie 5 qui met clairement en évidence l'importance du pneumatique ou du boyau dans la performance. Entre la plus mauvaise roue (Fulcrum Racing7...que je possède) et la meilleure (Lightweight à boyaux), il constate une différence de 12 watts, soit à peine 4% à 300W de moyenne. Imaginez ce que cela donne pour un coureur pro qui développe 450W !

Par contre, c'est vraiment l'écart le plus important. Entre une paire de Campagnolo Neutron et de Lightweight, l'écart n'est plus aussi important et cela permet de largement relativiser l'importance des roues, tout au moins en bosses, à partir d'une certaine gamme. Idem pour le fameux rendement inégalable du boyau qui semble de plus en plus souvent remis en question.

Mais je vous laisse le soin de visiter le blog Cycles et Forme d'Alban Lorenzini, qui en parle beaucoup mieux que moi.